Au bord de l’horizon, là où le ciel s’unit à la mer,
L’embarcation se prépare, symbole d’un grand mystère..
Les promesses de terres lointaines, d’étoiles en cascade,
Les étoiles éclairent le chemin dans le ciel obscur,
L’embarcation, une ombre à la dérive, une étoile qui perdure.
La mer, une toile sans fin, un tableau envoûtant,
Un monde en soi, un mystère palpitant.
À bord, des visages courageux, des rêves à portée de main,
L’embarcation, une poésie vivante, une quête d’ailleurs.
Au crépuscule des jours passés,
Une embarcation de l’âme est prête à larguer les amarres.
Ses voiles déployées sous le ciel incertain,
L’embarcation porte le poids des chagrins.
Les vagues de l’incertitude murmurent leur adieu,
Le rivage connu s’éloigne, le monde s’étend devant eux.
Des destins brisés, des vies marquées par la douleur,
L’embarcation porte des âmes en quête de chaleur.
Le vent d’exil chuchote des histoires inachevées,
Des rêves interrompus, des promesses envolées.
Les étoiles scintillent, silencieuses dans le ciel noir,
L’embarcation, un radeau de souvenirs à voir.
Dans le murmure des vagues, sous la voûte étoilée,
L’embarcation de l’exil est un témoin de l’humanité. Le monde est vaste, l’exil est une ombre en quête d’unité.